Ce pathogène, à l'état latent, s'est propagé très rapidement ces deux dernières années au sein des châtaigniers en raison de printemps humides qui ont engorgé les terrains favorisant la multiplication et le déplacement du pathogène dans le sol. Puis les périodes de sécheresse qui ont suivi ont achevé les arbres aux systèmes racinaires nécrosés.
L'objectif est de reconstituer la forêt.
En l'absence de traitement, l'ONF programme des coupes sanitaires là où les arbres sont malades. Des plantations seront ensuite mises en œuvre.
Consultez le communiqué de presse ci-joint.